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Crédits
photographiques : Pellegrino SORICELLI
A mes fils.
COPYRIGHT FRANCE
dimanche 2 novembre 2014
mercredi 8 octobre 2014
jeudi 21 août 2014
vendredi 15 août 2014
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A tous ceux qui vivent l'invivable,
l'inconcevable, l'inimaginable.
A tous ceux qui ont le courage
d'accepter la torture pour continuer à faire vivre son sang à
travers le souvenir.
Parce que rien n'est pire que de
survivre à son enfant : RIEN !
L'amour passera.
jeudi 3 juillet 2014
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Crédits
photographiques : Pellegrino SORICELLI
Le myosotis...Selon une légende, un
chevalier et sa dame se promenaient le long d'une rivière. Il se
pencha pour lui cueillir une fleur, mais perdit l'équilibre à cause
de son armure et tomba à l'eau. Alors qu'il se noyait, il lança la
fleur vers sa dame en criant « Ne m'oubliez pas ! »
Cette phrase pour désigner la fleur est d'ailleurs restée dans
différentes langues notamment en anglais :
a Forget-me-not (un« Ne m'oubliez pas») est la traduction du myosotis.
mercredi 9 avril 2014
samedi 15 mars 2014
lundi 3 février 2014
vendredi 17 janvier 2014
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Crédits
photographiques : Pellegrino SORICELLI
Il marche dans la nuit,
la tête lourde, baissée, Sur le trottoir miroir,
il marche sous la pluie, les quelques flaques,
l'âme sourde, blessée. laissées par son passage,
Sur lui la pluie coule, ne reflètent que tristesse,
et son âme s'écoule. et la pluie qui claque,
Chaque goutte l'amenuit, est la seule caresse,
chaque goutte le réduit, qui lacère son visage.
le liquéfie, petit à petit.
Sur le trottoir mouroir,
L'ennui l'a conduit, chaque goutte sur lui,
là où tout fuit. dissout lentement sa vie,
Il sait que derrière lui, chaque goutte de pluie,
son passé le poursuit, emporte enfin l'ennui.
il sait que devant lui,
la vie s'enfuit. Le trottoir est un lavoir,
Et la pluie le ravine, et la pluie son battoir,
et son corps décline. et l'homme-pluie sourit,
car il sait que tout est fini,
Son répit est de savoir, qu'il sera bientôt dissous,
qu'en s'engageant ce soir, dans le dernier égout,
dans la rue du désespoir, et qu'il rejoindra le néant,
il ne pourra plus décevoir. en se noyant dans l'océan.
Il erre alors dans le noir,
et se répand sur le trottoir.
Son ultime espoir,
est de se laisser boire,
goutte après goutte,
par le dernier avaloir,
au bout de sa route.
Aspirée par le goulot,
sa vie longe le caniveau,
et la pluie sur lui ruisselle,
et tout son être chancelle.
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